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PROPOS LIBRES

2/1/11
2 commentaires

Comme les coups de batons de Voltaire, les critiques malsaines "sont bien reçues mais souvent mal données".

Si les Hommes étaient vertueux, ils n'y aurait pas de controverse car cette dernière trouve habituellement sa source dans la malhonnêteté, la vanité, la jalouisie, l'obstination.

Les difficultés naissent dès lors que les arguments intelligents épuisés, on en arrive aux attaques personnelles, au procès d'intention, au jugement de valeur visant directement les individus.

Alors, la Société se fissure, elle, qui n'appartient à personne mais à chacun qui la compose, responsable de ses actes et des ses propos devant les autres et devant lui même.

 

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Commentaires :

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  • le Pitalugue dit :
    14/1/2011 à 12h 12min

    Merci Lamichou! Le Géant se dresse, la Fronde tournoie et la pierre ronde s'abat en son plein front. Le Grand Condé, en son temps s'était trompé de camp en optant pour une opposition fratricide; mais il se ravisa car il su que la pierre acquiert sa force dans sa course. François Marie Arouet l'apprit de son Mentor.

  • LAMICHOU dit :
    12/1/2011 à 12h 12min

    Le Prince de Conti fit cette constatation sur les coups de bâtons tandis qu'un parent de Caumartin dit "Nous serions bien malheureux si les poètes n'avaient pas d'épaules !" Si les hommes étaient vertueux il n'y aurait pas non plus de rumeur... "D'abord un bruit léger...pianissimo, murmure et file et sème en courant le trait empoisonné...Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine et rinforzando, il va le diable...Vous voyez la calomnie se dresser, siffler...et devenir un cri général, crescendo public, un chorus de haine et de proscriptions", Alors la Société se fissure...




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